"scène de chasse", Pauline de Dumas
A. Une scène de chasse Dont on nous raconte toutes les étapes ou presque On ménage l’effet de suspens puisqu’on nous montre la traque de la tigresse. On nous montre toute la traque. Le fauve est un fauve effrayant, qu’on présente de façon hyperbolique « la gueule béante et les yeux fixés sur lui ». On note le défi « la tigresse et lui se regardèrent immobiles ». Les combats se défient du regard avant de donner l’assaut. On a d’abord une approche « il s’arrête à 4 pas », et l’accélération finale « il se rua sur elle ». On a bien une dramatisation de la scène. C’est une scène exemplaire, spectaculaire, qui a des spectateurs. L’intérêt c’est qu’on moment crucial, on ne voit plus rien. On entend avec les officiers qui assistent à la scène « ils entendirent à la fois un rugissement et un cri ». C’est l’idée que le résultat est incertain. C’est un effet de frustration du spectateur et du lecteur. « et tout était fini ». On a une ellipse. L’idée d’un combat héroïque est manifesté car le combat n’a duré que quelques minutes. B. Un courage exemplaire Les officiers qui ont assistés à la scène sont prêts à aller combattre la tigresse pour défendre la dépouille du jeune comte. Il s’est comporté comme un chef et leur a insufflé de la bravoure. C’est le propre d’une action héroïque que d’inspire. Ce qu’ils découvrent c’est un tableau saisissant puisqu’on a la tigresse et le comte allongé l’un et l’autre, l’une morte l’autre blessé. Le sang a coulé, c’est un tableau saisissant et cruel. La