Seconde
Au cours de ses nombreuses conquêtes le roi Tsongor arriva sur les Terre des rampants, au bord de la mer. Il ravagea tout le peuple, sauf un homme qui fut épargné, et qui le garda comme serviteur Katabalonga. Il promit de venger son peuple en tuant le roi. Les années de porteur du tabouret d’or ont passé, l’amitié s’est installer, et vingt ans plus tard lors du mariage de la seul fille du roi, Katabalonga voulu le tuer mais il n’eu pas le courage. Suite à sa mort, sa fille ne pu se marier, ce qui entraina une guerre.
Ce texte explique le titre, « la mort du roi Tsongor ». Dans le roman il y aura la mort du roi mais en tout premier, ensuite la fin du livre on ne la connaît pas et on ne la devine pas. Dans un premier temps nous allons nous intéresser à la violence de cet extrait, et nous verrons aussi les différents sentiments employés.
Nous allons nous intéresser à la violence de cet extrait.
Tout d’abord, le narrateur décrit une scène de violence. Il utilise le champ lexical de l’agressivité comme « les cendrés se ruèrent » (l.1) ; « ils éventrèrent les tenants » (l.3) ; « et écrasèrent les gardes » (l.4) ; « les nomades pénétrèrent dans Massaba » (l.6) ; « qu’ils tuaient tout sur leur passage » (l.9) ; « la rage illuminait son visage » (l.12) ; « rua sur l’ennemi » (l.18) ; « il perça des ventres, sectionna des membres. Il transperça des torses et défigura des hommes » (l.18 à 20) ; « l’ardeur qui l’animé» (l.21) ; « Il frappait sans cesse. Eventrant les lignes ennemies de toute sa fureur » (l.22 à 23) ; « tombaient à la renverse sous la force de ses charges » (l.24) ; « il pouvait lui fendre le crâne » (l.26) ; « écrasa le visage de Liboko » (l.35). Il utilise la brutalité en insistant sur les verbes violents qui sont mis en valeur pour décrire une bataille