Securité interieure
Sans sécurité une société est condamnée au désastre, à la catastrophe; elle ne connaîtra aucune évolution positive. Les citoyens seraient occupés à défendre leur bien ou à essayer de dérober celui des autres : ça serait l’anarchie et l’abus du pouvoir, la guerre et l’occupation ou la colonisation.
La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 en France est venu pour faire fin à des abus de pouvoir et donnée naissance à une nouvelle ère : L’état qui est constitué de partis politique se doit de se fixer le but de : « la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression. » (Article 2). La liberté et l’égalité qui ne peuvent être pratiqué que dans une société sécurisée, sont devenu une affaire d’État : « la garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux à qui elle est confiée ». (Article 12).
Comme tout autre pays la France mène une politique intérieure et extérieure ou la question de la sécurité prend une dimension importante. L'article 1er de la loi du 21 janvier 1995 d'orientation et de programmation relative à la sécurité modifiée par la loi du 18 mars 2003 pour la sécurité intérieure (LOPSI) dispose que la sécurité est l'une des missions fondamentales d'un État de droit. Elle doit donc permettre aux citoyens d'un pays comme la France d'exercer en toute quiétude les libertés publiques qui leur sont reconnues.
Les attentats du 11 septembre 2001, de Madrid 2004 et de Londres 2005 sont des événements tragiques qui poussent les politiques et les professionnels a trouvé des solutions, établir des stratégies et prendre des mesures pour garantir la sécurité aux citoyens.
Ce travail va jeter la lumière sur le thème de la sécurité en essayant de répondre à quelques questions :
Quelles sont les menaces ?