SES devoir 1
Partie 1 :
Le PIB est le principal indicateur qui permet de mesurer les richesses d’un pays. C’est un indicateur quantitatif qui se calcule en ajoutant la somme de la valeur ajoutée avec la TVA et les droits de douane auxquels on soustraits les subventions à l’importation. Mais cet indicateur est imprécis car il ne reflète qu’une partie des richesses. Il ne prend pas en compte les productions illégales et non déclarées comme la vente de drogue ou le travail au noir mais aussi les productions non-marchandes comme un gâteau fait maison par exemple. Lorsque le PIB ne prend pas en comptes ces activités on le qualifie alors d’indicateur limité. Pour mieux refléter l’économie de leur pays au travers du PIB certains pays ont inclus ces activités souterraines au calcul du PIB comme l’Italie, le Royaume-Uni ou encore et plus nouvellement la Belgique. On cherche aussi à élaborer de nouveaux indicateurs. Mais à ce jour aucun d’eux n’est parfait.Mais les différences démographiques nuisent à la réactivité du PIB. Il ne reflète donc pas les trop grandes inégalités à l’intérieur d’un pays.
La productivité globale des facteurs est la mesure de l’efficacité qui met en rapport la production réalisée et le facteur utilisé Le progrès technique est l’ensemble des éléments contribuant à l’amélioration de l’efficacité de la productivité. L’ensemble de ces éléments contribuent à l’amélioration de la productivité. Mais si le progrès technique fait augmenter la productivité globale, la réciproque est fausse. La productivité globale peut aussi augmenter grâce à d’autres facteurs de production : le travail, l’augmentation de la population active, l’augmentation de la durée du travail ou des capitaux disponibles.
Partie 2 :
Ce document est un graphique représentant l’évolution du PIB en France depuis 1950. Il provient des Tableaux de l’économie française édités par l’INSEE en 2012. Il est exprimé en pourcentage par rapport à l’année précédente, en valeur ou en