Smqse
A la rigueur, gérer le SMQ suscite des actions qui ne dévient pas trop de celles qui amorcent sa mise en place et cette activité est aussi passionnante à réaliser.http://nathalie.diaz.pagesperso-orange.fr/html/gerersmq.htm
De façon plus concrète, dans cette phase, au "Comment ça marche ? " s'ajoute le "Est-ce que ça marche ?".
Gérer le SMQ n'est que cela : il s'agit avant tout de s'enquérir des résultats et vérifier s'ils concordent avec la Politique Qualité. Si tel est le cas (ou non !) il convient de toujours améliorer, pour reprendre la norme, "l'efficacité du SMQ".
Un rappel important : la Direction adopte durant toute cette phase un rôle actif, elle n'est pas spectatrice du SMQ.
Comme le SMQ n'est plus ni moins qu'un mode de pilotage complet avec son dispositif et ses outils, de son efficacitédécoule naturellement l'efficacité de l'entreprise. Si ce dispositif est efficace, c'est-à-dire s'il apporte une valeur ajoutée réelle (et c'est cela qu'il faut évaluer), alors l'entreprise est gagnante puisque ouverte sur toutes les possibilités qui s'offrent à elle (ou plus exactement aux possibilités qu'elle s'offre enfin). Elle devient plus compétitive, en alerte et donc apte à réagir en sa faveur y compris dans un contexte de crise..
Autre argument en faveur de cette évaluation : le Coût d'obtention de la qualité (COQ) ou le Coût de la Non qualité(CNQ), peu abordé lors des démarches (et c'est bien dommage).
Avoir (et garder !) un oeil sur ces données est très stimulant. Au regard de la Direction d'abord. On parle argent et la qualité perd alors ses caractéristiques conceptuelles qu'on veut