Sobibor
Photos des chambres à gaz
I. Révolte du camps Sobibor
Le 14 octobre 1943 y éclata l'une des trois révoltes survenues dans un camp d'extermination, et la seule réussie. Deux mois plus tôt avait eu lieu un soulèvement à Treblinka, et les échos s'étaient propagés jusqu'à Sobibor. L'organisation du camp allait faciliter l'insurrection. De dimensions modestes, Sobibor se composait de trois sections, la première abritait des prisonniers de guerre soviétiques d'origine juive affectés aux ateliers artisanaux (forge, cordonnerie, menuiserie,...) et gardés essentiellement par des auxiliaires ukrainiens; la deuxième renfermait les bâtiments administratifs et constituait une zone d'attente pour les déportés débarqués des convois avant leur mise à mort quasi immédiate; la troisième, masquée par des rideaux d'arbres et reliée à la précédente par un couloir, comportait les chambres à gaz et les charniers(puis les bûchers); enfin, aux abords immédiats du quai de débarquement , se dressait le secteur d'habitation du personnel et des gardes SS.
Des détenus tuent des gardes SS et des auxiliaire de police et mette le feu au camp. Ils attaques l’armurerie vol des armes , la liquidation à coup de hache et de poignard des nazis venu essayer des uniformes et des bottes chez le tailleur et le cordonnier , un Allemand fut tué toutes les six minutes , l’arrachage des barbelés , les planche jetées pardessus les clôture , ou ce qui en restait pour faire sauter les mines… Tout sa sous les rafales de tirs automatique. Le nombre d’évadés s’élève à 320 en enlevant les prisonniers repris et exécutés, ceux qui ont été assassinés dans leur cachettes le plus souvent par des ‘’ autochtones hostiles ‘’, ceux qui sont morts les armes à la main dans les rangs des partisans, on aboutit à un chiffre de 58 survivants.
II. Les phases de l’opération
Le 25 octobre un message a était adressé au gouvernement polonais en exil par la résistance polonaise, la révolte de Sobibor