socio économie ded l'édition
Les trois plus grands éditeurs mondiaux font énormément de vente numérique. Le premier est PEARSON.
Le scolaire, le parascolaire, les méthodes de langues, les ouvrages types dico et encyclopédie, le format papier est un format adjacent, et il n'est plus très utile et aujourd'hui ils se font surtout en ligne : par exemple Universalis au début sur papier, maintenant en ligne.
Entre 2012 et 2013, la vente d'encyclopédie papier a chuté de 8%, en partie à cause de wikipedia. Un dictionnaire et une encyclopédie se prévoyent très en avance, environ 5 ans.
Faire attention aux imprimeurs → être ferme sur ses demandes.
Le traceur papier est un cahier agraffé entre eux qui permettent une dernière vérification. Mais il n'est pas très bon, car le papier est très mauvais, il est biodégradable (diazol) et les images ne se voient pas correctement. Aujourd'hui on passe de plus en plus au traceur numérique.
Autre fois les stocks chez les distributeurs n'était pas payant, aujourd'hui c'est payant. De ce fait ils faut des lieux autres. Il faut des tirages.
Sur le plan de l'information et de la commercialisation la question du stockage est fondametale.
La question de l'information. On a vu arriver massivement, c'est deux dernières années des pure player. Il existe mediaparc (quotidien sur internet, offert qu'à la consultation électronique, on paye un abonnement qui donne droit à la consultation en ligne) est un pure players. Les pure players est un phénomène important, il montre la viabilité de la formule. Mediaparc viennent de fêter leur 100000ème abonné (ils ont autant d'abonné que Libération (qui en avait en 99 19800) qui est une presse papier). Les grands organes de presse papier mise de plus en plus sur le site, il y a une sorte d'effondrement de la presse papier. Les journaux chutent en partis de la chute des recettes publicitaires, ensuite les journaux gratuits augmentent beaucoup.
Le coût au numéro de la presse français est la