C’est à partir du 16e s que se développe une nouvelle conception de l’enfance dans les sociétés occidentales, dans les couches supérieures de la société notamment dans la bourgeoisie.
L’enseignement des savoirs, connaissance, étaient jusqu’alors réservés a la noblesse, il y avait des précepteurs qui préparait les enfants nobles a exercer des responsabilités.
Début 17e apparaissent dans les villes, des collèges urbains utilisé par la bourgeoisie pour former ses enfants. Ce qui nait aussi dans ces école rapport pédagogique entres les élèves et un enseignant, les parent pour la première fois dans l’histoire confit leurs enfants à une autre personne. L’objectif des familles bourgeoise est de donner à leurs enfants des savoirs, des connaissances, des savoirs être qui étaient jusqu’alors réservé aux familles nobles. Certains ordres religieux sont très actifs dans la création des collèges : les Jésuites. Cependant, c’est l’affirmation des savoirs indépendamment des croyances religieuses qui caractérisent les 16e et 17e siècles. Les jésuites sont d’ailleurs expulsés en 1762, ce qui marque le début de la prise en main du système éducatif par le pouvoir politique. Cette prise en mains est formalisée au moment de la révolution française.
Les écoles mutuelles, apparaissent en 1815, et durerons une 60aine d’années jusqu’à la création de l’école républicaine Jules Ferri en 1880 et 1882, qui rendent la scolarité obligatoire jusqu’à l’âge de 12ans. L’obligation scolaire à été portée à l’âge de 14ans en 1936, c’est la fin de l’enseignement scolastique (qui dépend de l’église).
En 1959, réforme Berthouin affirme l’obligation de la scolarité jusqu’à 16ans, qui ne devient effective qu’en 1967. Durant toute la première moitié du 20e l’enseignement secondaire est réservé à une élite, il y a un concours d’entrée en 6e jusqu’en 1960, et un concours d’entrée au lycée en seconde, il y avait 1% de bachelier en 1900, c’est 10% en 1960. La grande réforme qui a augmenté cette massification