Sociologie gg1
Il est certain que la grève étudiante a été et est un moment crucial pour la société québécoise. Tellement, qu'elle est devenue jusqu'à une guerre des générations. Alors que le gouvernement garantie l'avenir baby-boomers et assure l'avenir de la , les droits à une éducation gratuite sont enterrés et la va devenir responsable d'une grosse dette. Pour moi, la grève étudiante était un fait irrémédiable en raison de l'augmentation des frais pour l'éducation postsecondaire. La motivation des adolescents était claire, sûre et obstinée contre ceux qui a été déclarée comme une violation aux droits à l'éducation. Depuis le début, je participais aux assemblées générales et je faisais mes votes pour une grève indéfinie. Je pensais même à sacrifier ma session et participer à la grève pour le bien commun et pour les générations à venir, de sorte que l'étudiant puisse étudier la carrière qu’il va vouloir sans se tuer en travaillant les nuits ou tout simplement ne pas l'étudier à cause de manque de ressources. J’ai participé aux deux grèves avec beaucoup d’enthousiasme, pour cela je me suis mis une note de 7 sur 10. Bien que la grève était en progrès, on a commencé à voir l'abus du pouvoir et des agressions de la part de la police. La grève est devenue une guerre propagandiste et médiatique dans laquelle l'étudiant a été appelé à un point exagéré des terroristes. Les autres générations ou , ont catégorisé à l’étudiant même d’ennemi public. Même si on ne peut pas nier que des petits groupes voulaient faire leur chemin vers une révolution anarchiste et agressive. Le vandalisme et la rébellion contre une loi qui violent les droits des citoyens à laquelle on a appelé d'astuce politique étaient prévisibles. L'étudiant a eu peur et est devenu égoïste. Les principes de la grève collective sont devenus personnels et ils n'étaient plus disposés à avoir plus de pertes. La réalité est que la grève est en train de finir, pour le peuple il devient une vieille