I) Le fait social impersonnel et s’impose :

Selon Durkheim, le fait social est quelque chose d’abstrait et n’as pas de définition propre à ce mot. Le fait social est représentatif d’un bon fonctionnement de la société puisque c’est celle-ci qui le créé. Chaque individu se voit influencé par la société et ainsi de toutes les composantes de celle-ci. Durkheim dit que tout acte d’engagement connu dans les mœurs, il les fait car il est d’accord avec mais aussi du fait de son éducation qui lui en a inculqué les valeurs. Donc on peut dire que le fait social est un fait extérieur à nous et qu’il nous est d’abord transmis à la naissance puis par l’éducation. Le fait social est transmis de génération en génération et évolue selon l’époque mais cela ce phénomène nous parait « invisible » car il en devient une habitude, ce qu’on appelle la socialisation. Durkheim le définit comme étant « notre manière d’agir, de penser et de sentir » que celui-ci est extérieur à notre conscience personnelle. En quelque sorte nos conduites sont guidées par le fait social.
Le fait social est d’abord une contrainte car il nous est imposé de façon inconsciente. C’est le pouvoir coercitif c'est-à-dire que l’individu sait que le fait social à la possibilité de le punir d’une certaine manière et donc pousse l’individu à agir contre son gré. C’est pourquoi le fait social s’impose à nous qu’on le veuille ou non. Seulement, lorsqu’un individu tente de s’y opposer il se voit vite confronter à ce pouvoir coercitif. Cette coercition prend deux formes :
- La forme direct : Durkheim prend exemple de la violation de droit, si on transcrit une règle, des sanctions nous permettrons de regretté voir comprendre la gravité de notre acte. C’est la répartie des institutions. Il y a aussi la conscience publique (la manière d’agir, de penser que nous impose la société) qui elle est moins violente que le droit mais tout aussi dur moralement, la conscience publique est la façon dont la société à de punir un