Le désespoir ne s’apprivoise plus, le noir n’a d’autre issu pour s’émouvoir. Cela n’est plus une forme d’évasion, c’est une véritable ascension de nos sensations. Le manque ne manque, l’ancre ne s’arrêtera malheureusement plus de coulé. Le verre s’est renversé. L’injure sature, notre futur s’assombri dans vos lits. Je n’en veux plus, il n’en peut peut-être plus. Dessine-moi l’odeur, peur des rancœurs. Debout ici et là, assis et désemparé nous ne nous couchions. Ne disparais pas, pourquoi l’envie s’ennuie. L’alcool s’envol vers les sous-sols. Pourquoi t’empares-tu de moi cette fois ? Quelle impression cette sensation s’offrant à la plaie noir ? Devoir n’est plus donné. S’asseoir sur vos gloires. Description d’une déception, extériorisation. Quand-est-ce que ? Lâchez-moi, détruisez mes émois ! S’il te plait ne me regarde plus sourire mes larmes couvres désormais nos soupirs. Larmoyant est le cri du faisan. Voyantes sont les griffes de mes sacrifices. Satisfaits ne sont plus les faits, l’effet est tel que tes traits sont frais à mes aspects. Je t’aime en vin, tu ne désirs plus que ses seins. Le mien est plus étroit qu’une voie angoissé par la satiété. Assombri tu la maudits. Croisé et meurtri tu fuis. Scanner aux vingt-cinq lunes. Vendre mes cendres. Gendre à craindre, genre à peindre. L’étroit, je crois. Enlace-moi, resserre ces bras, embrasse moi pour qu’enfin la ressemblance de nos êtres te fassent découvrir la jouissance de nos sens. Ne pense plus, sache vivre à propos. Qu’importe la vente de l’achat, arrache-moi les lèvres. Qu’attends-tu de cette retenue ? Rassemble nos corps pour qu’une deuxième fois je vois la mort. Attrape-moi, je t’en conjure ! Breuvage sauvage, la mort est assurance alors tourne délicatement les pages. Crevasse du vice, nasse des vos caprices. Accroche-toi, allongé et courbé je ne vois que toi. Cambré je te veux, ombrés seront les lieux. Finis tout mon alcool, ce n’est pas donné à tout le monde, succombe que le jeu nous commandes. Il me faut