Nous nous demandons quelles sont les solutions durables possibles afin d’éviter l’agriculture productiviste et commerciale qui, actuellement relève le défi, tout en assurant la sécurité alimentaire de l’humanité dont les besoins augmentent fortement

L’accroissement démographique est, à l’échelle mondiale, le principale facteur d’accroissement de la demande alimentaire pour nourrir plus de 9 milliards d’habitants en 2050, la production agricole doit donc augmenter de 7O%. De ce fait, les firmes multinationales et les gros producteurs achètent des milliers d’hectares à l’étranger et privilégient les cultures d’exportations ( c’est le commerce international). Hors ces échanges sur longues distances polluent et nuisent aux réchauffement climatiques (l’énergie nécessaire aux transport de ces aliments genre des gaz à effet de serre et du CO2 qui participent au changement climatique) tout comme l’usage massif d’engrais et de produits phytosanitaires qui polluent aussi sols et eaux. L’exemple du document sur les échanges de produits agricoles affiche un ananas qui part des régions tropicales, essentiellement des pays du sud tel que le Brésil, et est exporté dans les pays du Nord (ex : Allemagne) symbolise les échanges agricoles internationaux.
Le commerce mondiale concerne d’autres produits agricoles tels que les céréales, ou les produits de l’élevage ( aquaculture : de nombreux risques sont présents : les problèmes sanitaires et l’utilisation d’antibiotiques sont dangereux pour les consommateurs, les risques de pollution des milieux naturels, la disparition de la pêche locale)

L’enjeu est de fournir à tous une alimentation en qualité et en quantité suffisante, il est donc nécessaire de produire plus et de mieux repartir les productions sur la Terre. Les solutions durables qui satisferaient les besoins actuels des hommes sans compromettre ceux des générations futures seraient de promouvoir les circuits courts : raccourcir les distances entre les producteurs et les