Soulagement! Marie était parisienne. Elle habitait un quartier reculé de Paris au rez de chaussé d’un appartement qui donnait directement sur la rue. On aurait pu dire qu’elle habitait la rue. La décoration était correcte, si bien que son salon ressemblait à une pub Ikea. Cependant, autour d’une petite table se tenait une vielle chaise rongée par les mites. Elle disposée toujours d’un dossier, mais avec un énorme trou dedans, et de pattes aussi fine que des spaghettis. Elle comptait s’en débarrasser mais oubliait toujours de le faire. Marie travaillait à plein temps dans l’épicerie du coin. Elle n’avait pas pu allait étudier car sa famille qui habitait la campagne, n’en avait pas les moyens. Elle était donc fille de fermiers et elle n’avait jamais aimé sa. On dit beaucoup qu’elle ressemblait à sa mère, de courte taille, un peu enrobée, et les cheveux courts. Elle ne possédait cependant aucun handicap et se présentait en pleine forme.

Tous les matins, elle se rendait a son travail a pied car l’épicerie se situait juste a l’angle de la rue. Ce matin, en sortant les poubelles, elle tomba sur un mystérieux colis. Il était scellé de partout avec énormément d’autocollants « fragile » dessus. Marie se demanda de quoi pouvait il s’agir. Elle déposa alors ses ordures devant sa porte au lieu de les avoir jetés à la poubelle, plus bas. Elle ouvrit donc le paquet. L’emballage était coriace. Elle découvrit tout d’abord une note. Il était écrit que sa tante était décédée il y a 2 jours et qu’elle lui avait laissé ce vase de grande très valeur. Marie fut surprise, elle qui n’était pas si proche de sa tante. D’ailleurs, on ne lui avait même pas prévenu de sa mort. Elle n’en était cependant pas plus attristée que cela. Le vase était enrobe de papier bulle. Elle le déballa lentement, mais surement, pour découvrir un magnifique vase de Crystal orné de jade.

Le vase avait été fait a la main d’un savoir faire légendaire. Il n’avait pas la moindre égratignure et les