Soutenance marketing
Depuis de nombreuses années, le domaine pharmaceutique observe une tendance plutôt en baisse. Pour illustrer ce faire en 2012 la vente de médicament a baissé d’environ 1,5%. Ainsi de plus en plus de pharmacies essayent de se démarquer de leurs concurrents en appliquant des prix plus bas, plus de conseil ou d’autres services comme de l’orthopédie, de l’aromathérapie... Ainsi, ce déclin du domaine de la vente du médicament a donc entraîné les pharmaciens à se montrer de plus en plus concurrentiels. C’est ainsi que les pharmacies low-cost sont nées. Dans un contexte difficile pour les pharmacies normales, les dites « discounts » fleurissent de plus en plus avec de nouveaux concepts ou groupements qui leur donnent une légitimité juridique et un cadre dans lequel évolué.
SOMMAIRE
Introduction
1. Présentation de l’étude
Présentation de l’entreprise :
Notre étude sur l’implantation d’une pharmacie low-cost dans la presqu’île lyonnaise ne se destine pas à une entreprise mais à un pharmacien, notre commanditaire pharmacien ayant été gérant de plusieurs officines durant sa carrière.
Notre étude :
Lors notre première année à l’ESDES, une étude de marché nous a été confiée dans le cadre de notre enseignement marketing. Ainsi, la nôtre porte sur l’implantation d’une pharmacie low-cost dans la presqu’île lyonnaise (1er et 2ème arrondissement).
Implantation d’une pharmacie dans une ville :
La France est l’un des pays d’Europe qui concentre le plus de pharmacies avec une pharmacie pour 2900 habitants alors que la moyenne européenne est de 4500 habitants.
En France, l’implantation d’une pharmacie est soumise à différentes règles.
L’une de ces règles est le numerus clausus. Le numerus clausus définit le nombre de pharmacie d’une ville en fonction du nombre d’habitants qu’elle contient. Pour implanter une première pharmacie dans une ville il faut un minimum de 2500 habitants. Pour l’ouverture d’autre pharmacie après la première, cela