souvenir de la nuit du 4
Un mouvement de gradation est présent sur les émotions de la grand-mère: « était là qui pleurait » ; « disant » > « cria-t-elle », « les sanglots l’étouffant »
Les spectateurs aussi sont touchés : « en silence », « tous pleuraient », « tremblant » . l'interjection « Hélas ! » souligne la pitié.
Des questions sont posées par la grand mère qui sollicite la pitié telles que : « Est-ce que ce n'est pas une chose qui navre ! », « Que vais-je devenir à présent toute seule ? ». Il y a aussi de nombreuses images de l'enfant mort. Le premier vers en montre une pour commencer le poème : Le pathétique est très présent dans ce poème. La grand-mère est personnellement impliquée dans cette mort atroce : « ils m’ont tué ce pauvre petit être » ce qui accentue la pitié du lecteur pour elle.
Un mouvement de gradation est présent sur les émotions de la grand-mère: « était là qui pleurait » ; « disant » > « cria-t-elle », « les sanglots l’étouffant »
Les spectateurs aussi sont touchés : « en silence », « tous pleuraient », « tremblant » . l'interjection « Hélas ! » souligne la pitié.
Des questions sont posées par la grand mère qui sollicite la pitié telles que : « Est-ce que ce n'est pas une chose qui navre ! », « Que vais-je devenir à présent toute seule ? ». Il y a aussi de nombreuses images de l'enfant mort. Le premier vers en montre une pour commencer le poème : Le pathétique est très présent dans ce poème. La grand-mère est personnellement impliquée dans cette mort atroce : « ils m’ont tué ce pauvre petit être » ce qui accentue la pitié du lecteur pour elle.
Un mouvement de gradation est présent sur les émotions de la grand-mère: « était là qui pleurait » ; « disant » > « cria-t-elle », « les sanglots l’étouffant »