Dans ce texte, extrait de son traité des autorités théologiques et politiques, Spinoza soutient que la liberté est une propriété essentielle de la nature humaine et que, par conséquent, le pouvoir politique a comme intérêt de devoir la respecter. il entend démontrer q'un état qui censurait la liberté d’expression, serait voué à la ruine. Il défend donc le régime politique démocratique et dénonce les abus de pouvoir des Etats autoritaires ou despotiques.

Dans un premier moment l'auteur fonde une hypothèse quelque chose qui pourrait arriver, sur le jugement d'autrui qui pourrait être contrôlé et sur le fait que les hommes puissent juger que lorsque l'Etat le décide. Mais chaque être humain a une personnalité différente et une opinion propre ce qui le rend unique et jamais toutes les pensées des hommes ne seront conformes aux volontés politiques. Il se pose donc la question '' que se produirait-il si les hommes étaient identiques et avaient la même façon de penser ? ''

Dans un deuxième moment, l'auteur explique que si les hommes avaient toutes les mêmes pensées ils auraient aussi les mêmes paroles et donc plus aucun sujet de conversation. La bonne foi qui est indispensable aux hommes seraient bannie alors que tous les mauvais cotés de la vie seraient adulés.

Dans un troisième moment, l'auteur montre que les hommes ne veulent pas se laisser faire et qu'il faudra les influencer grâce à des choses positives pour les rendre plus dociles. Mais l'Etat et le pouvoir politique veulent les priver de leur liberté d'expression plus les hommes se débattent et résistent.

Dans un quatrième moment, l'auteur dénonce que ce ne sont pas les hommes issus d'un milieu aisé qui pensent qu'à l'argent et à bien se nourrir qui sont visés mais les hommes qui ont trouvé en leur éducation, en leur vie, en leur caractère une haute libération intérieure c'est comme si les hommes de milieu aisé n'avaient aucune force d'esprit et étaient corrompus automatiquement par la souveraines