Sport et dopage
Notre objectif est de vous sensibiliser et de vous donner un complément d’information sur les risques que peut entraîner le dopage dans la pratique du sport.
La pratique dopante n’épargne aucun sport, et peut concerner l’ensemble des sportifs compétiteurs, quel que soit leur âge.
PRESENTATION DES TABLEAUX
Définition du dopage :
Pour revenir sur la définition du dopage, je me suis appuyé sur celle du code mondial antidopage et du code du Sport en droit français qui sont la référence.
"Le dopage est l’utilisation de substances ou de procédés de nature à modifier artificiellement les capacités d’un sportif ou à masquer l'emploi de substances ou procédés ayant cette propriété, dans le but de participer à une compétition".
Nul sportif n’est censé ignorer cette définition et le sportif est responsable de ce qu’il s’administre.
On peut trouver la liste des interdictions sur les sites internet de l’agence française de Lutte contre le Dopage (afld.fr) ou du ministère de la santé et des sports (jeunesse-sports.gouv.fr).
Nous analyserons les conséquences du dopage dans le cadre du sport d’un point de vue :
- disciplinaire ;
- pénales ;
- sur le plan social ;
- et enfin les conséquences médicales.
Conséquences disciplinaires
Les premières conséquences de la découverte de cas de dopage chez un sportif sont d’ordre disciplinaire, à savoir l’interdiction de pratiquer le sport.
Les sanctions peuvent varier de 3 mois à 2 ans d’exclusion voire de radiation à vie en cas de récidive.
La France est l’un des premiers pays européens à avoir pris des dispositions législatives à l’encontre des conduites dopantes dans le milieu du sport de haut niveau.
Elle est restée longtemps l’un des seuls pays à disposer d’une législation spécifique aux conduites dopantes dans le domaine sportif.
Le ministre chargé des sports est chargé de coordonner les actions antidopage avec le concours des fédérations sportives