Stéphane mallarmé

773 mots 4 pages
Stéphane Mallarmé

Etienne Mallarmé, dit Stéphane Mallarmé est né à Paris le 18 mars 1842 et est mort le 9 septembre 1898 à Valvins. Auteurs d’une œuvre poétique difficile, Mallarmé a été l’auteur durant la 2è moitié du XIXè siècle d’un renouveau de la poésie.
Le mouvement naturaliste est le mouvement littéraire le plus pratiqué lorsqu’il commence à écrire. Très vite on va observer des changements dans son style d’écriture.
En lisant Hegel, Mallarmé a découvert que le néant est le point de départ pour atteindre le Beau et l’Idéal. De là devait correspondre une poésie nouvelle basée sur le verbe. Par le rythme, la syntaxe et le vocabulaire rare, Mallarmé crée une langue qui ressuscite « l’absence de tous bouquets » (phrase tirée de sa propre bouche). Le poème devient alors un monde renfermé sur lui-même dont le sens naît de la résonnance. Le ver se fait couleur, musique. C’est avec Mallarmé que la « suggestion » devient le fondement de la poésie antiréaliste et fait du symbolisme un impressionnisme littéraire. Son œuvre est alors celle de l’absence de signification qui « signifie d’avantage » et le poète cherche à atteindre les « splendeurs cachées derrière le tombeau ».
Il perd sa mère en 1847 et est confié à ses grands-parents. Il rentre ne pension en 1852 et se montre être un élève très médiocre. Il est renvoyé en 1855. Sa sœur meurt en 1857 et c’es là qu’il commence à écrire ses premiers poèmes d’adolescent. En 1860, il découvre les Fleurs du Mal de Beaudelaire, ce qui influence ses premières « vraies »œuvres. En 1862, ses premiers poèmes paraissent dans différentes revues. Il fait la connaissance de Maria Gerhard, une jeune gouvernante allemande avec qui il se marie plus tard à Londres. En 1866 il fait la rencontre de Verlaine et en 1872, il fait la rencontre d’ Arthur Rimbaud et en 1873 celle de Edouard Manet. Grace à Manet, il rencontre Zola. A partir de 1864, il a une santé fragile. Tout le reste de sa vie, il se range aux cotés de poètes comme Zola

en relation

  • Apollinaire
    2471 mots | 10 pages
  • Thérèse raquin
    1079 mots | 5 pages
  • Les personnages dans la curée
    1523 mots | 7 pages
  • L'assomoir: la rue
    816 mots | 4 pages
  • Thérèse raquin
    4561 mots | 19 pages
  • Rougon macquart
    880 mots | 4 pages
  • Le travail dans les fictions littéraires d’émile zola
    872 mots | 4 pages
  • La mort de Camille, Thérèse Raquin
    328 mots | 2 pages
  • Introduction l'assommoir (commentaire composé)
    287 mots | 2 pages
  • thérese raquin
    371 mots | 2 pages
  • Photographie et littérature
    781 mots | 4 pages
  • Le ventre de paris
    3198 mots | 13 pages
  • Emile zola, l’œuvre
    4788 mots | 20 pages
  • Ntm93
    525 mots | 3 pages
  • Roman de rimbaud
    1170 mots | 5 pages