26 Septembre 1941

Mon très cher petit Louis

Je t'écris car c'est la seul chose que je peut faire pour te remercier, ce n'est rien mais cette lettre exprime ce que je ressent à présent. Je n'aurais jamais pensais qu'un innocent garçon aurait pu nous aider à remplacer le passeur. J'avais si peur de monter dans cette barque si fragile que tu dis avoir emprunté. Mais tu as su rassurer mes filles et moi, qui ne savons pas nager, en nous expliquant que l'eau n'était pas si profonde que ça. J'étais si méfiante, et heureusement car j'ai vu l'arrivée des allemands et nous avons pu nous enfuir à temps... Nous avons trouvé refuge chez d'ancien amis à nous. Quand nous sommes arrivé, Robert et moi, il faisait nuit mais heureusement que la famille Khalifat était là et nous a reconnu. Ils sont tous si aimable, il ont deux petites filles et un garçon qui à l'age d'un adolescent. Tout les jours nous allons dans le petit village pas loin pour se promener ou alors faire les courses. Là-bas aussi la nourriture se fait rare, On a juste à peine de pain pour nous tous. Il y a une famine, alors que nous sommes en 1941, des habitant du village sont mort de fin à cause de ça ! Heureusement que la famille s'est adapté à se monde : Ils chassent comme toi et pêche aussi. Mais nous ne sommes pas en total sécurité car un mouvement de cannibalisme s'est créer à cause de leur si grande faim... Nous craignons le pire, surtout que les Allemands gagnent du terrain et avance jours en jours, bientôt il seront là il faudra que l'on changent de lieux et ce n'est pas sur que l'on survive. Nous avons été alertés par le village voisin. Des rescapés du massacres sont venus se réfugier à leur tour chez les Khalifat. Il parait que les allemands nous emmène dans des endroit fermés où l'on est intoxiqué... C'est affreux ! D'autres sont torturés à mort devant leur familles ! L'hiver approche, les animaux se font de plus en plus rare et nous n'aurons plus de quoi nous nourrir suffisamment,