Sujet 5
Partie 4 (11 avril)
La situation pour les révolutionnaires tourne mal. Apres une terrible répression, tous les membres doivent s’enfuir. Dénoncé pour l’affaire de la cargaison d’armes (avec l’assassinat du trafiquant d’armes) Clappique doit quitter la ville. Il essaye néanmoins de prévenir Kyo que la police a décidé de l’arrêter. Il se rend donc chez Kyo, mais ne le trouve pas. Il demande à Gisors de l’informer et lui donne rendez-vous. Tchen, avec deux complices organise sans succès un premier attentat contre Tchang Kaï-chek. Il se cache ensuite chez son compagnon Hemmelrich (un ouvrier d’origine suisse) et décide d’agir seul la fois suivante. Ferral trahi les révolutionnaires et décide de rejoindre le camp de Tchang Kaï-chek. Le narrateur le rend comme un personnage ridiculisé et minable. Cependant c’est lui qui s’en sortira le mieux. Kyo se rend au rendez-vous de Clappique avec sa femme. Tchen décide de se jeter avec sa bombe sur la voiture de Tchang Kaï-chek. Son geste est inutile et absurde car il ne l’atteindra pas.
Partie 5
Clappique n’est pas à l’heure au rendez-vous. Kyo et sa femme se font arrêtés puis jetés en prison. Apprenant qu’un nouvel attentat a été organisé contre Tchang Kaï-chek, Hemmelrich se rend à la permanence communiste et cherche des nouvelles de Tchen, mais ne le trouve pas (forcément ! puisqu’il est mort). Lorsqu’il rentre chez lui, il découvre que sa femme et son enfant ont été assassinés dans d’atroces conditions (à la grenade). Lorsque la permanence est attaquée il décide alors de rejoindre Katow pour un ultime combat. Il parvient à s’enfuir in extremis…
Etude d’ensemble
Fin de la dernière partie 5 page 269
Les idées qui en ressortent
➢ Violence et horreur du combat, dimension complètement absurde
➢ Hemmelrich sait qu’il est condamné, ce qu’il l’anime c’est la vengeance, elle lui donne une force surhumaine ce qui le transforme en héros.
➢ Malraux fait une réflexion sur l’héroïsme, elle est à la frontière