Sujet dissert comp Frankenstein l ensorcel e
Sujet de dissertation : entraînement
"Dieu n'a pas permis qu'il en soit mort, mais il lui a laissé sur la face l'empreinte de son crime inaccompli, pour en épouvanter les autres et peut-être pour lui en faire horreur à lui-même." : en vous appuyant sur ce jugement de Jeanne Le Hardouey à propos de l'abbé de La Croix-Jugan dans L'Ensorcelée (1854), extrait du chapitre VII (p. 141), vous réfléchirez à la notion de monstruosité telle qu'elle est développée dans le roman Frankenstein (1818) de Mary Shelley et dans celui de Barbey d'Aurevilly.
Mots clés:
Dieu + mort :
- idée du destin funeste // tragédie. La volonté divine le sauve mais pr qu’il accomplisse un destin funeste.
- idée d’une punition divine : la laideur, pr le châtier de son suicide (crime inaccompli), acte sacrilège pr un chrétien. Le châtiment : horrifier les autres et lui-même.
--} la monstruosité = un châtiment divin contre un acte sacrilège // Prométhée, pr punir un péché d’orgueil, avoir voulu se croire supérieur à Dieu.
L’orgueil sera sa force sur les autres et sa perte.
--} la monstruosité physique (sur la face, l’empreinte de son crime) = un reflet de sa monstruosité morale, de sa violence, de son insensibilité.
Ds F, inversion monstre physique et moral : Victor et créature et variation.
--} Monstruosité = idée du rejet, de l’isolement.
-Ds L’E = fascination et répulsion mêlée de la foule. En épousant leur pt de vue, puis celui de Jeanne, il ns incite à ns identifier à ces sentiments. Il ne ns donne pas ou peu le pt de vue de l’abbé qui reste impénétrable.
--} Cela est en OK av le registre fantastique.
-Ds F = horreur entraîne le pur rejet de la part des autres perges. Pas de fascination de la foule. Mais l’Ar utilise le stratagème du changement de pt de vue, en laissant la parole au « monstre » pr susciter une attirance, qui est une forme de compassion, non une fascination.
--} Récit ici plus édifiant, destiné à fre réfléchir sur l’humanité et la