Intro: JPJ accuse réception de la lettre et s'énerve de ce qui a été dit. Ton plutôt mordant ou ironique : " Je vais vous prouvez que je ne suis ni un parasite ni un profiteur et vous donnez une petite explication, à vous qui piquer de juger les autres et de distribuer des étiquettes, sur ce qu'est un artiste."

I- Je ne suis pas un profiteur parce que:
Argument 1 : Je rend hommage au livre. Je n'exploite pas le succès du livre, je le renforce : je le fais connaître, je lui donne un second souffle. Ex : star américaine dans le casting et donc curiosité au-delà de la France, liste des récompenses et nominations. Prolongement : Preuve de l'intérêt de ma démarche : Japrisot était OK ( reprise de citation). Et vous voudriez me censurer? Le ton se calme un peu :entre admirateurs de ce grand auteur qui nous manque, on devrait pouvoir se mettre d'accord. Pourquoi tant de colère sontre moi qui suis, avant tout et comme vous, un amoureux de ce roman?
Argument 2 : Je n'ai rien fait pour en tirer profit, j'ai tout fais par plaisir. J'aurais pu prendre n'importe quel autre sujet, je suis à l'abri du esoin. Ce livre ma passionné, sa mécanique, son cadre spacio-temporel, son hérïne.
Argument 3: un parasite fait le minimum d'effort, si vous saviez le travail que cela m'a demandé pour être à la hauteur du livre. C'est pareil pour les acteurs et les techniciens: repérages des efforts de reconstitution en vrai ou en numérique... ex de l'hélico qui couche les clés. Cela représnete une phase dans un livre, mais un travail et des moyens faramineux pour en faire une image (guétter la météo, l'heure pour la lumière, ne pas effrayer les bêtes, retenir un chapeau qui s'envole...)! Un travail de titan sous l'oeuil de tous les fans exigeants, comme en témoigne votre lettre !

II- Je suis un artiste, il me semble, parce que
Transition: ton apaisé. Passage à la seconde attaque. Mon premier réflexe: colère. Mais au fond il est légitime face à ce film de se demander où commence la