Mesdames, messieurs.
Si je suis ici aujourd'hui, c'est pour défendre mon client qui est ici présent. Présentez vous monsieur.
« Je m'appelle Meursault » à vrai dire c'est tout ce qu'il eut envie de répondre. Il se trouve que nous sommes réunis en ces lieux pour établir le jugement de mon client. Il me semble important de vous rappelez qu'il est accusé d'homicide volontaire, je ne voudrais pas qu'il y est de confusion là dessus. Je crois vous avoir entendu dire qu'il était ici aussi car il était accuser de ne pas avoir était sencible à la mort de sa bien chère mère. Vous croyez cela normal de lui infligé cette mort sur la conscience alors que ce n'est pas le vrai problème, la vrai accusation ? Toutes les personnes ne réagissent pas de la même façon devant la perte brutale d'un être cher, notamment devant la mort de sa propre mère. Si monsieur aurait montré un peu plus de chagrin le jour de l'enterrement de celle-ci, il serait ici pour sa vrai accusation ! Et c'est ce que je trouve pitoyable, d'autant plus pitoyable en ces lieux, qui sont normalement symbole de justice. Je ne connais aucun texte de loi qui permet d'accusé monsieur de n'avoir exprimé aucune émotion le jour de l'enterrement de sa mère. Si en l’occurrence vous en connaissez un, je vous prierez de m'en faire part. La réaction de mon client n'est en aucun cas inhumaine. Certes il a eut un comportement étrange, mais il a prit sur lui et a intérioriser ses émotions. D’où le fait qu'il n'est versé aucune larme le jour de l'enterrement. Je trouve que ceci n'a rien à voir avec l'homicide commis par la suite. Ce n'est pas du tout lié. Revenons en à la vrai raison de cette audience. Monsieur s'est trouvé menacé quand il est retourné a la source, il ne savait pas que l'arabe était présent aussi, n'est-ce pas cher client ? Cet incident relève donc du hasard que l'arabe et mon client se soient rejoins au même endroit, au même moment, cela ne veut en aucun cas dire que ce meurtre était prémédité. Mon client s'est