Sujet d'invention l'école des femmes molière
Horace, Agnès, Arnolphe
Horace
Très chère, toujours belle vous êtes quelle magnifique coïncidence de vous croiser à chaque foies que vous prenez l’air.
Agnès
Horace attendez je descends au jardin afin de trouver un moyen de vous faire entrer sous ce toit.
Horace
Je vous attendrez une éternité s’il le fallait.
Agnès, arrivant au jardin
Vite entrez avant que vous soyez trouvé ici par les valets.
Horace, la rejoignant
Je prendrais n’importe quel risque pour vous.
Agnès J’ai crue que nous nous serions fait prendre. Je me sens si bien en votre présence cher Horace.
Horace
En la votre je me sens comme un homme sorti victorieux d’une longue guerre.
Agnès
Qu’est-ce que ces bruit ? Non, vite Horace cachez vous j’entends mon jaloux qui arrive entrez dans cette armoire.
Horace, entrent dans l’armoire
Faite attention a vous.
Arnolphe
Il n’est pas là ? Où est-il ? Je vous préviens Agnès dite le moi je suis sur qu’il était là car il ne me semble point avant aujourd’hui vous avoir déjà entendue parler seule.
Agnès
Je parlé à ce petit chien personne n’est ici, vos valet le saurais si se serais le cas.
Arnolphe, tapant du point sur la table
Vous moquez vous de moi ? Enervé vous m’avez rendu ! Maintenant dite-moi tout.
Agnès
Je vous le jure que seule je suis dans cette pièce.
Arnolphe, frappant le chien
Enfin ma chère me prenez vous pour un sot ?
Agnès
Ce pauvre chien ne vous a rien fait. Je ne vous prends point pour un sot c’est vous qui m’avez fait rendre sotte.
Arnolphe, cassant des vases
Assez ! La façon dont je vous ai étudié n’a rien à voire avec ce fait. Je retrouverai ce traitre quoi qu’il en soie ! Je me retire et vous laisse réfléchir on en reparlera ce soir au soupé.
Agnès
Cela est mieux ainsi.
Arnolphe, fermant la porte
Georgette passera vous prendre ce soir, vous ne pouvez plus sortir de votre chambre avant que celle-ci vienne vous chercher.
Agnès, ouvrant l’armoire
Mon