-Après plusieurs jours de grèves acharner à manifester contre la compagnie minière, les revendications se font de plus en plus fortes. Mais certains ouvrier ne supportent plus le fait de rester la a attendre un changement qui pour heu ne surviendra jamais, un ouvrier décida de se dresser contre les grévistes contre ces propre compagnons.

-Un silence profond tomba, plus personne ne parla, ni même bougea tous immobilisaient, sauf une personne dont les parole avais stupéfié tout le monde. Il s’avança de quel que pas*, pris une posture droite et imposante et dit NON !!!

-Non, tu dis mais de quoi parles-tu ? Toi qui a était un de ses premiers à te plaindre de ces conditions drastique dans les quel tu travail et ou nous tous ici travaillons .Tu hausse nous dire Non après tout se que l’on a subit. Encore trois de nos compagnons sont morts se mois si que veut que se soit la prochain foie Alfraide ou mois ou encor toi peut être. Alors comment hausse tu ne serraise que un seul instant te relever contre nous et nous dire Non.

-Tu ces bien que j’ai une famille à nourrir, des enfants une femme, si je ne rentre pas se soir cher moi pour leur maitre du pain sur la table et de quoi manger que croit tu qui vas se passer hein ! Toute ma famille conte sur moi et je ne peux pas fahire a cet tache.

-Mais ne croit tu pas aussi qu’il aimerait peut être avoirs, je ne s’est pas moi ne serais que autre chose que de la soupe de pomme de terre sur la table et pas plutôt de la viande et des légumes.

-Si bien sur ! Mais croit tu réellement que tout nos agissement, nos revendication vont changer quelque chose !

-Alors tu préférerais retourner dans ces mines, travailler la tête baissé et mètre ta dinité de coter et laissait cette éternelle misère recommencer plutôt que de marchais la tête haute et fiaire ?

-Non

-Alors pourquoi t’opposer a nous ? Nous qui travaillons depuis plus d’un siècle dans ces mine ou certain de nos frère il on laisser la vie, nous n’avons