Dans ma cabine, alors que j'étais sur le point de me reposer, j’entendis l'équipage s'agiter.Je me levais, puis Colomb m'attrapa par le bras pour me mener vers le pont. Je m'étonnais de son tel comportement quand il me dit « Regarde Stanley ! Regarde vers l'horizon il y a une Terre encore inconnue ! ». Ébahi de cette découverte, je me retrouvais bouché bée les yeux tout émerveillés, je n'avais qu'une hâte c'est de pouvoir poser mes pieds sur cette nouvelle découverte.Une demi heure plus tard, nous jetions l'ancre, nous descendions de bord, je posais le premier pas sur cette Terre. A l'horizon, je voyais un paysage tel que je n'en avais jamais vu. Le soleil était fabuleux et frappé sur les nombreux arbres qui s'étalaient à l'infini.Mes compagnons ainsi que moi-même décidions d'explorer cette Terre, nous nous enfoncions dans cette forêt qui nous semblaient interminable.Il y avait des tonnes d'espèces inconnu à mes yeux, je découvrais peu à peu des choses nouvelles, comme l'odeur de la végétation qui était différente de celle de notre pays, tout était si beau, si cinople.Le lieutenant Fernandez se mit à crier « Regardais là bas ! Il y a de la fumé ! », je n'en cru pas mes oreilles, puis je regardais ce qu'il pointait. Nous nous dirigions vers cette fumé, puis un oiseau de couleur rouge, vert bleu et jaune se posais sur mon épaule. J'étais stupéfait de la beauté de ce rapace. Nous étions de plus en plus proche de cette fumé, nous pouvions la sentir.Nous entendions des voix, alors nous nous approchions lentement, puis nous voyons pleins d'hommes. D'hommes nus, ils avaient des cheveux longs noir corbeau, une peau couleur cuivré. La plupart de ces hommes étaient peint de couleurs rouges, blancs et d'autres couleurs.Quand ces hommes nous ont vu arriver, ils furent surpris. Une femme s'avançait vers moi puis, fait signe à tout mes compagnons et moi-même. Ils étaient muni de toutes sorte d'objet qu'ils trouvaient dans la nature, ils semblaient être heureux, tous nous