C'était une journée comme les autres,quoi qu'encore plus belle que les précédentes,lumineuse. Le pintemps ne s'était toujours pas décidez à s'installer et l'hiver restait tout de même tenace remarqua-t'il en observant attentivement au dehors. Un verre de bon vin rouge dans une main,la seconde appuyer contre la fenêtre,la sentation de froid l'envhahie. Il décida d'allumer une fois de plus,la cheminée mais un mouvement au dehors attira son regard . En bas juste sous ses yeux, un jeune enfant de quelques dizaines d'années profitait de l'agitation générale de la fin du marché pour dérober quelques vivres. Cette image,l'attrista, et le renvoya quelques années en arrières. Plus particulièrement l'année où il avait été condamné au bagne pour avoir volé un misérable pain. Puis le visage de Monseigneur Bienvenu lui apparut à l'esprit. Nette, dressée dans son esprit comme un portrait minutieusement détaillé. Jean Valgean se sentit envahie d'un sentiment étrange. C'est comme si il revivait ce moment une nouvelle fois. Comme il avait été bon et brave avec lui songea-t-il. Il se surpris à se sentir des années après ,encore honteux de l'avoir tromper ainsi. Il se souvint du désarroi qui l'avait habité lorsque les gendarmes l'avaient amené devant Monseigneur Bienvenu. Cétait tout naturellement,que ce dernier avait prit sa défense vis-à-vis de cette argenterie dérobée. Monseigneur Bienvenue, plus honorable encore,lui avait suggèrer qu'il avait oublié deux chandeliers qu'il lui avait aussi réservé,en plus du reste de l'argenterie . Ceétait bien entendu,un joli mensonge, si bien tourné, que les gendarmes l'avaient immédiatement relâché. Jean Valjean esquissa un demi sourire lorqu'il se rappella à quel point il ni s'y attendait pas. Il s'y était tellement pas attendu,qu'il avait manqué de peu de s'évanouir,tellement ses jambes fléchissaient sous l'émotion. Puis tout d'un coup, les paroles de l'évêque résonnérent dans son esprit. Des années après, il s'en souvenait encore très