svt méiose
LE DEBUT DE LA VIE.
Année 2012/2013, TSB, ECJS
Nous avons choisi ce sujet car c’est un sujet d’actualité qui tend à concerner de plus en plus de personnes au vu de l’augmentation de maladies dont le traitement rendrait stérile. L’exemple du cancer est frappant, nous savons que dans à peu près cinquante ans, une personne sur deux pourrait développer le cancer et nous savons bien que la chimiothérapie a des conséquences nocives, voir irréversibles par rapport a la fertilité des patients. De plus, aujourd’hui, de nombreux cas de demandes d’insémination post-mortem se posent. Fabienne JUSTEL qui, avec son mari projetait d’avoir un enfant, perdit son mari qui succomba à une maladie. Cependant, elle voulue tout de même avoir un enfant de son défunt mari qui avait effectué un dépôt de sperme à l’annonce de sa maladie. Elle ne put pas car la loi en vigueur interdit l’insémination artificielle post-mortem.
PROBLÉMATIQUE :
En quoi la congélation de sperme en vue d’une insémination artificielle post-mortem est une avancée scientifique bénéfique au sein de la bioéthique ?
Faux depart
Article 171 code civil
I/ Histoires, définitions et lois portant sur l’insémination post-mortem
1) Grandes définitions
a) Spermatozoïdes
b) Insémination artificielle
c) Bioéthique
2) Histoire et avancée scientifiques
3) Lois en vigueur
II/ Conflits occasionnés par l’insémination artificielle post-mortem 1) Les partisans : arguments
2) Les détracteurs : arguments
III/ Etude ethnologique sur ce sujet 1) Etude d’une ethnie réincarnant les morts
2) Etude de la société Française
Conclusion : Notre point de vue positif et nos arguments à propos de cette technique controversée