Sylvie de Nerval – Ermenonville

Situation :

Avant : Le narrateur, alors éperdument amoureux d'une actrice de théâtre qui lui rappelle un de ses amours d’enfance se remémore les souvenirs de sa jeunesse et de ses premiers amours. Ces derniers lui donnent envie de repartir à la conquête de Sylvie un soir où une fête a lieue dans son village. C’est durant ce voyage que la plupart de ses souvenirs sont énoncés.
Juste avant notre passage, il arrive à Loisy et retrouve Sylvie ; mais cette dernière a fêté toute la nuit et se fait alors ramené par notre narrateur chez elle afin qu’elle alle se reposer. Malgré les courtes retrouvailles, la narrateur a déjà pu remarqué quelques changements chez Sylvie du fait de sa lecture de « la Nouvelle Héloïse » de Rousseau.

Pendant : Le narrateur, désirant revoir Sylvie, décide pour faire passer le temps d’aller se distraire par une balade à Ermenonville, plus précisément au parc de Jean-Jacques Rousseau.
Durant sa balade dans le parc, le narrateur est nostalgique du passé, du temps de Rousseau, de « l’ancienne » Sylvie, qui illuminait chaque endroit avec son sourire et sa personnalité et du temps où les jeunes filles allaient dans ce parc afin de recevoir des prix d’études et de sagesse.

Après : Sa balade au parc terminée, il reprend le chemin de Loisy afin de rejoindre Sylvie.
Cependant, une fois arrivé à Loisy, il va retrouver une Sylvie encore plus changée qu’il ne l’imaginait ainsi que son environnement.
La tante est morte, Sylvie n’est plus une paysanne mais une femme soignée, sa manière de travailler à été industrialisée ( révolution industrielle), en effet elle ne fait plus de dentelle car plus personne n’en veut donc elle fabrique des gants avec une « mécanique » et elle est maintenant fiancée.
Bien plus tard, de retour dans le Valois, Sylvie est mariée et Adrienne décédée depuis longtemps.

Découpage :

Partie
Lignes
Termes
Appellation
1
49 à 57
Lorsque je vis briller – s’arrêtent à Rousseau
L’arrivée au parc
2
57 à