Synthese programme svt ts
Parenté des êtres vivants actuels et fossiles.
Caractéristiques communes à tous les êtres vivants :
- structure universelle de l’A.D.N.
- molécule énergétique universelle (A.T.P.)
- expression de l’information génétique
- structure cellulaire
⇒ Origine commune mais degré de parenté plus ou moins fort.
On détermine ce degré par différentes données :
Morphologiques :
- structure interne similaire (→ organes homologues)
- état primitif ≠ état dérivé
- « Plus il y a de caractères dérivés partagés, plus le degré de parenté est étroit. »
Embryologiques (liées au morphologiques) :
- Plus il y a de stades embryonnaires similaires, plus le degré de parenté est étroit.
Moléculaire :
- % de similitude ≥ 50 % → molécules homologues → comparaison possible
- zones de conservation (fondamentales) ≠ zones de mutations (l’horloge moléculaire)
- Plus le % de similitude est grand, plus le degré de parenté est fort.
- type de mutation : substitution, délétion, insertion et inversion.
- homologie moléculaire → parenté entre ces molécules → parenté entre les êtres vivants les possédants.
⇒ Ces données permettent de faire des arbres phylogénétiques.
Arbres phylogénétiques :
- un arbre traduit les relations de parenté entre des êtres vivants.
- deux taxons sont reliés au même nœud s’ils ont en commun toutes les caractéristiques que possédait leur dernier ancêtre commun. Ils se distinguent par les caractères résultant d’innovations évolutives apparues exclusivement sur chaque branche.
- à partir d’un arbre phylogénétique, on peut établir une classification évolutive où chaque groupe contient un ancêtre commun et ses descendants.
Paléontologie :
- fossile ≠ ancêtre commun (virtuel)
- fossile : appartient à une branche mais pas à un nœud. Il permet de dater une innovation évolutive.
La lignée humaine.
Un Humain est :
- eucaryote : cellule à noyau délimité par une membrane nucl éaire.
- vertébré : possède des vertèbres.
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