Synthèse de la Princesse de Clèves
Texte 1 :
1. Préparer l’attente : pour un plus grand plaisir :
-les préparatifs sont longs : Exa : « tout le jour des fiançailles »
- le Duc arrive en retard, or on attendait plus que lui « elle se tourna et vit un homme…crut d’abord ne pouvoir être que M. de Nemours »
Echanges de regards : manipulés par narratrice omnisciente : chacun s’observe : Clèves d’abord, N ensuite. Exa : « surprise ; étonnement ; surpris ». cadre où le public (dont reines, roi) ont le regard posé sur eux « trouvèrent qq chose de sigulier de les voir danse ensemble sans se connaître ». Ils vont d’ailleurs progresser la rencontre par leur intervention.
Le dialogue : direct, permet le contact. N montre sa galanterie et sa modestie (honnête homme) : il a reconnu la Princesse ce qui est un aveu de sa grande beauté (portrait qui la précède). Tout est en litote et euphémisme. L’un et l’autre vivent un coup de foudre extraordinaire mais le cache par préciosité.
Le lecteur est éclairé : ils sont faits l’un pour l’autre. le cadre : rencontre dans un lieu public : le Louvre (palais royal) donc dans le faste et l’apparat. Les circonstances (fiançailles) imposent élégance, raffinement (cf « on admira sa beauté et sa parure ». Mais dans ce lieu où les apparences comptent plus que tout, les 2 héros sont distingués par tous : « il s’éleva dans la salle un concert de louange » le roi et les reines : le roi est l’ordonnateur de la rencontre lors de l’invitation à danser « lui cria de prendre celui qui arrivait ». Puis la reine dauphine cherche à semer le doute dans leur cœur en semant le trouble dans leurs cœurs en les mettant face leurs sentiments. Elle est pleine d’implicite et modalise « je crois ». La narratrice suggère le trouble « Mme de Clèves paraissait un peu embarrassée ». Admettre qu’elle l’a reconnu c’est reconnaître en sa présence le charme et la séduction qui sont les siens. La deuxième réplique de la dauphine la met dans