L'ensemble des articles aborde le thème de l'autorité. Le premier document extrait de Libération s'intitule « Enseignant et désobéissant » et date du 2 septembre 2009. Les trois autres documents proviennent du SNUIPP : le texte 2 s'intitule « Mais que fais la maîtresse ? » (2007), le texte 3 publié à la même date « Sanctions et punitions à l'école primaire » ainsi que le texte 4 « L'autorité se construit avec les élèves ». Les auteurs interviennent sur différents moyens de faire autorité et tente de répondre au problème qui se soulève. Les élèves doivent obéir or ils doivent aussi devenir des individus autonomes. Comment l'enseignant peut-il mettre en place une autorité nécessaire qui ne relève pas de l'autoritarisme ?
Nous étudierons les problèmes rencontrés avec l'autorité puis les différentes solutions envisagées par les auteurs.

Le texte 2 développe le fait que l'autorité est insuffisante dans les écoles et que cela est lié, selon les français, à des enseignants qui n'arrivent pas à faire autorité et dans un second temps lié à des classes surchargées. Quant au texte 4 il démontre qu'un fort taux de violence est lié à un problème d'autorité dans l'école. Mais l'ensemble des textes indique qu'il est difficile de savoir quelle autorité appliquer et quelles en sont les limites. Certains professeurs avouent eux même avoir commis des actes de violence ce qui est interdit comme le rappelle le texte 3. Le texte 1 considère qu'il y a une nécessité d'avoir des règles, des lois, qui sont les mêmes pour tous. Mais, selon l'auteur du texte 1, obéir signifie être soumis ce qui s'oppose à vouloir faire des individus autonomes. Les élèves doivent pouvoir savoir quand ils doivent obéir ce qui s'oppose à une soumission inconditionnelle. Au contraire, le texte 2 explique que l'autorité, qui fait penser à une terme négatif, est souvent vu comme une punition or il est mal interprété, il signifie « autoriser ». Un manque d'autorité ne peut être que néfaste, en effet le