Synthèse

Le thème général de ce corpus est le détour dans l’art et plus précisément dans l’art de la peinture. La plus part du temps les artistes utilisent des voies détournées pour s’exprimer à travers leurs œuvres. En effet cela apporte un coté mystérieux dans ce fabuleux domaine.
Ainsi, Arcimboldo auteur du tableau « L’eau » prône l’art subtil du mystère à travers ce portrait qui laisse imaginer plusieurs possibilités. C’est également ce que préconise Escher avec son œuvre « Bond of union » qui reprend aussi cette idée de flou au niveau des personnalités qui sont présentent dans ces tableaux.
Alors, comment par le biais du détour les peintres arrivent ils a nous interroger sur la complexité de notre identité ?
Après avoir démontré notre lien profond et existentiel à la nature, nous verrons la diversité par de multiples facettes, variées et contrastées. Pour finir il faudra souligner la complexité de notre identité ainsi que les contrastes et l’ambiguïté.

Les deux tableaux étudiés sembles tendre vers un même constat : le détour dans l’art de la peinture. Dans certains cas il est même indispensable. Son objectif est ainsi défini : amener l’autre à où on le souhaite, sans être direct.
Ce principe s’applique à de nombreux domaines. Dans l’art de la peinture on parlera de style. Dans ces deux tableaux les peintres nous montre notre rapport, notre lien profond et existentiel avec la nature. Elle est à l’origine de notre identité. Ce rapport à la nature est visible notamment chez Arcimboldo ou l’on peut constater que le portrait d’une femme qui est constitué d’animaux marins. Le fond est noir représente sans doute les profondeurs de l’océan. Cette idée est également présente chez Escher avec la sensation d’air, d’espace, d’univers, les sphères faisant ainsi référence aux atomes. Nous remarquons que l’esprit de lien étroit entre l’humain et la nature est inévitable dans ces deux œuvres.

Dans le domaine de l’art les détours sont utiles pour amener les