Système de désorientation maximum.

- Ellipses poussées à l'extrême.
- Scènes dépourvues d'explications.
- Informations au compte-goutte.
- Fausses pistes ( par ex. proposées par Scully ou les Lone Gunmen ).
- Elévateur de tension (notamment par des remarques ).
- Rumeurs catastrophistes.
- Conversations secrètes avec un informateur secret (Dans un endroit anonyme : parking désert, pont à ciel ouvert...)
- Conversations précédées ou suivies d'une scène d'action ou d'horreur inexpliquée.

- Dialogues qui épaississent le mystère au lieu de l'éclaircir.
- Scènes chocs coupées au moment le plus intense. (Règle du suspens de Hitchcock )
- Fins ouvertes, qui favorise le mystère et désoriente le spectateur en le laissant avec des interrogations non résolues.
- Mulder ne peut jamais ramener de preuves tangibles.

- Scène d'introduction ( hook, en anglais : hameçon ) : une action choc sans explication, puis générique.

Bon scénario :
- Grande interaction Mulder/ Scully, un grand contrepoint.
- Une histoire sur la vérité.
- Une histoire sur les croyances personnelles.
- Une histoire avec une base scientifique solide, donnant à Scully un point de vue fort. Et permettant à Mulder de projeter son intuition encore plus loin.
- Eviter la nudité et les propos grossiers.
- Donner une ambiance, une couleur, à chaque histoire.
- Faire en sorte que chaque histoire soit aussi sombre, bizarre, étrange que possible.

Paranormal : La dialectique du trouble.
Acte 1 : Un événement singulier et brutal se produit quelque part.
Acte 2 : Le FBI dépêche M et S sur les lieux, car les autorités locales n'arrivent pas à résoudre cette affaire.
Acte 3 : Tout en enquêtant normalement, Mulder ( ou plus rarement Scully ) flaire une autre piste.
Acte 4 : Un 2ème événement, voisin du 1er, confirme ce qu'il - ou elle - pressentait.
 Pour que l'alchimie fonctionne, il faut d'abord que les agents raisonnent rationnellement

! Ne jamais se fier à sa 1ère impression ( leitmotiv de la série ).

- Les