Dans le cadre la veille technique, notre instinct nous a pousser à analyser les modes de fabrication de véhicules, de type voitures et tramways. Nous en avons vite conclu que des contraintes telles que les matériaux et les outils de productions étaient inhérents à ce type de production en série. Pour aller un peu plus loin dans cette direction, nous nous sommes intéressés a un cas précis : Les tramways de la compagnie SEMITAN, implantés dans la métropole Nantaise. Les caractéristiques de ces transports (performances, entretien, capacité dimensions etc...) nous ont permis d'obtenir de nouveaux mots clefs: l'attente, l'intimité, la "perte" de temps etc...
D'un point de vue écologique, biocarburants, énergie solaire, hydrogène et gaz naturel ont été des solutions en apparence satisfaisantes pour contrer le problème du réchauffement climatique. En analysant de plus près la chose, il se trouve que les moyens de financer ces types d'énergie reste actuellement très onéreux. L'introduction de ce type d'innovations n'est donc pas forcement d'actualité. Suite à ce questionnement sur l'écologie, nous nous sommes intéressés à la technologie. Une piste intéressante devait y être traitée: les objets de la mobilité, type GPS. En effets, ces outils de communication peuvent être intéressant à développer pour ce rendre d'un point A a un point B. Problème: ces outils sont généralement "privés", et ne sont pas actuellement en partage. Il s'agit aussi, généralement, d'outils ne permettant de suivre qu'un trajet prédéfini.
Notons que derrière toutes ces techniques, des notions d'argents et d'investissements sont à prendre en compte, ainsi que des notions de politique lorsque des transports urbains par exemple sont détenus par la métropole.

L'analyse générale permet de dégager alors un thème global: une mobilité "durable". D'un point de vue technique, elle prendrait en compte aussi bien l'espace, l'objet que l'humain, dans le respect des générations futures et dans le besoins de