Séoul, récit d'un voyage

552 mots 3 pages
Pamina Meyer

SéOUL

Séoul, capitale du « pays du matin calme » est à mes yeux la seule ville dense, urbanisée et moderne où les gens restent ouverts, accueillants, et respectueux l’un envers l’autre. Cette ville trépidante, dominée par des grands buildings, et constituée d’une multitude de petites rues éclairées de toutes les couleurs la nuit, m’émerveille à chaque fois que je m’y rends.
On y trouve un contraste entre tradition et modernité, par exemple le palace de Changgyeonggung, construit dans le courant du XIIe siècle trône aujourd’hui au centre de la capitale sud-coréenne, posé sur les neuf différentes lignes de métro desservant la ville, et continue pourtant à faire publiquement la relève de la garde.

Séoul est une ville effervescente, j’aime aller au marché de Namdaemun, où l’odeur de la nourriture cuisinée dans la rue se mélange à celle des fruits et légumes vendus par principalement par des grands-mères qui désirent se faire « de l’argent de poche » comme elles disent, et faire un tour au marché au puces où l’on trouve toujours quelque chose à négocier. Les coréens sont très fiers de leur pays et aiment lorsque les étrangers s’y intéressent, c’est pourquoi les touristes sont toujours accueillis très chaleureusement. Il m’est même arrivé une fois qu’une vieille dame me laisse sa place dans le métro qui était bondé, cela montre à quel point les coréens veulent que les étrangers gardent le meilleur souvenir possible de leur passage.

Le coût de la vie est tellement bas en Corée que l’on peut manger correctement pour quelques francs, cinq kilomètres en taxi coûtent moins de deux francs et on peut s’habiller de la tête aux pieds pour une vingtaine de francs suisse. Il est impossible d’imaginer les possibilités de shopping et des activités que la ville peut offrir ; Dans le quartier de Myeongdong, il y a une foule de cafés, restaurants et tea-rooms branchés, de galeries d’art contemporain et de centres commerciaux qui sont de vrais temples de la

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