Séparation de l'église et de l'etat
Il y a les partisan de la laïcité, ceux si sont séparé en deux groupes. Les premiers (Émile Combes, Maurice Allard...), héritiers de la tradition jacobine, rêvent d'éradiquer la religion chrétienne ou de la confiner dans le domaine strictement privé. Ceux si s’oppose a l’église car il pense qu’elle s’oppose au progrès. Ils proposent un déchristianisé le pays. Ils vont même jusqu’à essayer de supprimer l’habit du moine. Ils avancent comme arguments que la religion soutient la bourgeoisie et que l’église est un danger politique pour la république. « Les hommes doivent créer leur paradis sur terre […] » Emile Combes. Les seconds (Jean Jaurès, Aristide Briand, etc.) sont plus modérés. Ils veulent d'une part affirmer la neutralité de l'État à l'égard de toutes les croyances, d'autre part garantir la liberté de conscience de chacun en conformité avec la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Ils avancent comme argument que la liberté de conscience est différente de la liberté de religion. Jean Jaurès, grand tribun, est principalement d’accord avec Aristide Briand, il dit « La France n’est pas schismatique, elle est révolutionnaire ! ». Il se sert de V. Hugo et de Rabelais comme exemple pour citer la France.
Les partisans du concordat sont très divisé, on en trouve à gauche comme à droite. L’abée Gayraud déclare que idéal serait l’union entre la religion catholique et l’état civil. Il avance comme argument que la loi de l’état donnera à l’église une image d’association banal. La loi de l’état va supprimer les budgets des cultes. La paix