La convention de qualification : est une structure de coordination des comportements des agents sur un marché. Elle établit la compétence d’un professionnel. Elle offre une procédure de résolution récurrente de problème de détermination de la qualité lors de l’échange, en émettant une information sur les pouvoirs de qualifier qu’il s’agit d’attendre des professionnels d’une part, des clients de l’autre.
La convention d’effort : c’est une structure de coordination des comportements des agents travaillant dans une organisation. Elle établit le niveau d’effort communément admis comme normal. Elle offre une procédure de résolution récurrente des problèmes de détermination de la qualité du travail, en émettent une information sur les règles établissant l’implication de l’agent dans le groupe.
P.Y. GOMEZ propose une typologie de la qualité des objets produits et échangés. Il reconnait deux classes d’entreprises :
Lorsque la complexité est maximum, l’auteur désigne la firme comme communautaire, dans le cas contraire, il l’appelle marchande. A propos des types de marché, il distingue le marché compétition lorsque la complexité est faible et le marché délégation quand la complexité est forte. La qualité manifeste la confluence de conventions d’effort et de qualification. Une firme communautaire, à forte complexité, proposera la « qualité maison » dans le cadre d’un marché compétition, à faible complexité. Alors que sur la marchés à forte complexité, de type de délégation, ce même type de firme offrira la « qualité service public » une firme marchande caractérisée par une faible complexité, construira la « qualité standard » sur un marché compétition et la « qualité libérale » sur un marché délégation.
Cette théorie socio-économique présente une intelligence du mouvement de l’entreprise comme la recherche d’un ajustement entre l’effort et sa rémunération au sein de l’entreprise et la relation client-fournisseur. Si l’intuition pressent une utilisation