L'accident s'est produit lors d'un exercice qui avait pour but de prouver que l'on pouvait relancer la centrale d'elle même suite à une perte totale du réseau électrique. Mais les réacteurs sont instables à faible puissance. Cet exercice a été conduit à une puissance trop faible et en plein pic Xénon et Iode (ki son 2 composant chimique) : ce qui a provoqué ' "empoisonnement du réacteur". Il aurait fallu qu’a ce stade qu’ils arrêtent le réacteur pendant 1 à 2 jours en maintenant un refroidissement permanent le temps que les composants se désintègrent naturellement . Donc l'explosion n'a rien de nucléaire mais c’est pluto une réaction chimique du Xenon et de L’iode qui a provoqué la catastrophe. Les techniciens présents sur place, ainsi que Brioukhanov réveillé à 1 h 30, ne se rendent pas comptes de l'ampleur de la catastrophe. DE CE FAIT Brioukhanov appela le ministère de l'Énergie à 4 h en déclarant que « Le cœur du réacteur n'est probablement pas endommagé »[]. Il reçoit pour ordre de maintenir le refroidissement par eau du réacteur; cet ordre, que Brioukhanov persistera à appliquer toute la journée, n'aura pour effet que de libérer plus de radio-éléments dans l'atmosphère et de noyer les installations souterraines des réacteurs 3 et 4, qui aurrait pu les endommager mais l'ingénieur en chef responsable du réacteur 3 prendra, au cours de la journée et contre les directives de Brioukhanov, la décision de faire passer ce réacteur en arrêt à froid, permettant ainsi de le sauver d'une destruction certaine du réacteur.
Afin d'éteindre l'incendie, Brioukhanov appelle simplement les pompiers. Ceux-ci, venus de Pripyat, située à 3 km de la centrale, interviennent sur les lieux sans équipement particulier alors que les matières nucléaires ne peuvent être éteintes avec de l'eau. Les pompiers, gravement irradiés, sont évacués et mourront pour la plupart.
Le principal danger de l'incendie est que les dégâts qu'il occasionne à la structure risquent de provoquer