Tecktonick en france
L’origine de ce mot a été inspirée par le phénomène géologique de tectoniques des plaques. Ce mot est créé il y a 8 ans par Cyril Blanc et Alexandre Barouzdin pour intituler de nouvelles soirées au Métropolis (boite de nuit en région parisienne) qui diffusent des sons electro différents qui s’entrechoquent. Les sons du nord de l’Europe venant de Belgique, d’Hollande, d’Allemagne et les sons du sud de l’Europe venant d’Espagne et d’Italie. Durant ces soirées une nouvelle danse est née, elle s’inspire du hip hop, du hard style de Belgique, du jump style, de la disco… . Les clubbers du Métropolis qui pratiquent cette danse ont un style « trash » très particulier notamment avec une coiffure hérissée, des vêtements et accessoires fluorescents, prêt du corps ou encore une tétine dans la bouche qui est utilisée contre les remontées de l’extasie. Tecktonik est devenu, grâce au succès des soirées « Tecktonik killer » comme on les appelle, le nom d'une marque de vêtements, d'une boisson énergétique et de plusieurs compilations de hardstyle produites par les DJs coutumiers du Metropolis. Le logo de la marque représente un aigle. Malgré la polémique il n’est en aucun cas lié au mouvement nazi. L'aigle apparaîtrait ici comme un symbole de puissance.
C’est en mettant en ligne des vidéos de danses de ces clubbers que la mode a commencé à prendre il y a un peu plus d’un an. Aujourd’hui, on danse « tecktonik » mais on s’habille aussi « tecktonik », cette mode est devenu un vrai style de vie auprès des jeunes de 15-25 ans. La tecktonik est partout, en boite de nuit, dans la rue, dans le métro, et même à l’école, de plus en plus d’adolescents en sont accros. Ce phénomène marketing est en pleine