TEXTEORAL2MAUPPASSANTCANDIDE
La première phrase de l'extrait commence par un paradoxe et marque l'étonnement de l'auteur. Cette phrase marque le thème de ce texte : la guerre. Après cette première phrase, on a un paragraphe commençant par une interjection qui marque de l'indignation et du dépit de la part de l'auteur. On remarque aussi le pessimisme d'un préambule sur la férocité de la nature humaine. Il adopte un ton maraliste. L'auteur utilise l'adjectif « nous » qui décrit une généralité. A la l.5, l'auteur indique un contexte particulierement belliciste puisque la guerre est vénérée. Après un constat général, Mauppassant cite les propos du marèchal de Molkte, un stratège de l'armée prussienne, auteur de livres sur l'art militaire, mais le discrédite d'amblé par l'ironie en e qualifiant « d'artiste habile » ou de « massacreur de génie » et en qualifiant ses propos de « étranges ». C'est une première attaque ad hominem. Viennent ensuite les paroles du maréchal qui correspondent à un éloge de la querre. Ce n'est pas une parodie en soi, mais d'après le contexte, on peut entendre la voix moqueuse de Mauppassant citant les paroles du maréchal prussien . L'auteur ne peut pas se contenter d'une raillerie, et, pour démentir les propos du maréchal, il propose le tableau des horreurs de la guerre. On peut dire qu'il oppose la fiction idéoloqigue du maréchal à la vérité tragique. Mauppassant utilise un connecteur « ainsi » qui est ironique car il est supposé accrédité les propos du maréchal, alors qu'il vient de les contredire. On peut donc avec sérieux, énoncer la thèse de Mauppassant à la l.21 « Les hommes de guerres sont le fléaux du monde ». La thèse est sans appel, et oppose les hommes de guerre à ce « nou » représentatif de la civilisation . On peut donc aussi dire que les hommes de guerre sont exclus de la civilisation : le