The war game
1965. Grande Bretagne. Guerre Froide. L’URSS menace de lancer des missiles thermonucléaires de moyenne portée sur l’Europe de l’ouest, ceci pour répondre à un possible bombardement anglais. Les bases militaires sont donc ciblées, mais les plus grande villes de l’île aussi. Ces dernières comptent environ un tiers de la population totale du pays. A l’annonce de l’intention de l’URSS et de l’Allemagne de l’est d’occuper la partie Ouest de Berlin si les Etats-Unis n’abandonne pas l’idée d’un bombardement sur l’Asie, la Grande Bretagne est déclaré en état d’urgence jusqu’à la fin de la crise. Cette décision entraine un certains nombre de répercutions telle que l’évacuation de certains civils dans des endroits plus sûrs tels que le pays de Galles : cela concerne 10 millions d’évacués. Un système de « cartes d’identités » et de « rationnement » est mis en place. En cas de bombardements nucléaires, la moitié Est du pays deviendrait totalement inhabitables à cause des retombées radioactives. En vu du manque de connaissances importants sur les effets et les sécurités à adoptées en cas de bombardements, le gouvernement fait distribuer des prospectus sur les effets d’une explosion nucléaire afin d’informer l’opinion publique. Ces brochures encouragent la population à se barricader etc.
Lors de la visite d’un médecin généraliste chez une famille anglaise, l’alarme retentie à 9h13 AM. Cette dernière n’avait pas eut les moyens de se barricader : les habitants hors d’une habitation sont brulés au 3ème degré et perde la vue à cause de la vague de chaleur, 12 secondes après l’onde de choc, comparé a une porte qui claque dans les profondeur de l’enfer : une bombe thermonucléaire a explosé a 10km
Les effets d’un missile thermonucléaire explosant avant son point d’impact provoquerait « une tempête de feu » entrainant des souffles au sol de 160 Km/h. En son centre l’oxygène est consumé : elle brule tout ce qui l’entoure. L’oxygène est alors remplacé par du