Theories de la croissance
> Définition de la croissance selon F. Perroux : « > c’est > l’augmentation soutenue pendant une ou plusieurs > périodes longues d’un indicateur de dimension, pour > une nation, le produit net en termes réels ». La > croissance est un processus quantitatif qui n’est > qu’un élément du développement. > La réflexion économique sur la croissance date de la > première révolution industrielle. Adam Smith dans la > Richesse des nations pose les premiers jalons d’une > théorie de la croissance. Pour lui, la croissance, > qui > prend sa source dans la division du travail, est > illimitée. Cette pensée a évolué avec les autres > économistes classiques. > > La théorie de la croissance a repris avec vigueur > depuis les Trente Glorieuses alors que > l’entre-deux-guerres était caractérisé par une > réflexion sur les cycles. > > > > > > > > I. Une vision pessimiste de la > croissance : Les théories de la croissance limitée > > > > > A. L’état stationnaire de David Ricardo : la > croissance se heurte à l’avarice de la nature > (rendements décroissants de la terre) > > > > Ø Origine de la croissance : le > réinvestissement > productif du surplus > > Ø L’augmentation de la population nécessite une > augmentation de la production agricole. Mais les > nouvelles terres mises en culture sont soumises aux > rendements décroissants. Le coût de production et > donc > le prix des denrées alimentaires augmentent. Les > industriels doivent augmenter les salaires, qui sont > fixés au niveau de subsistance, ce qui réduit leurs > profits donc les investissements, bloquant par > conséquent la croissance. Le libre échange peut > faire > pression à la baisse