Théorie classique
On peut distinguer 3 grandes Théories : * Classique (Fin XVIIIe – Fin XIXe) : la concurrence et le marché forme le système économique le plus performant. De plus, la richesse se fait par l’accumulation du capital (libéral). * Marxiste (hétérodoxe) : Critique du classique par Marx * Néoclassique : Nouvelle théorie libéral, continuité du classique uniquement dans l’éloge du libéralisme. Cependant les arguments sont différents. Elle se concentre plus sur la fixation des prix et le fonctionnement du marché.
Partie I : La représentation classique de l’économie
La théorie classique est née avec Adam Smith. Durant un siècle, plusieurs auteurs y adhèrent comme Say, Ricardo ou encore Matthus. Certes ils ne disent pas la même chose, il y a plein de nuances et de divergences mais ils ont une question et une réponse commune : ils sont d’accord sur le « noyau ».
Chapitre I : La théorie classique : mise en perspective. I. La réhabilitation de l’accumulation de la richesse
Comment accroitre la richesse des nations ? De la richesse des nations d’A. Smith
A.Smith pose la question centrale de l’accroissement de la richesse. Avant ce courant, l’accumulation était condamnée tant par les Grecs (Aristote dit qu’il y a deux grands types : domestique (primaires) et spéculative (pensée). Le Commerce et les échanges sont des bonnes choses qui permettent de se spécialiser : division du travail ; ainsi il libère du temps pour les activités spéculatives. Le problème c’est que le commerce entraine des comportements condamnables : le fait de toujours vouloir plus ; les classes sociales se forment donc.) ou encore dans le Bible (il faut se concentrer sur la foi et non sur l’accumulation du capital) ; ils se méfiaient par peur de déboucher à des détournements.