Théorie du capital humain
De nos jours, la santé morale et physique des citoyens est importante, en effet les gens font plus attention à leur qualité de vie et s’initie à l’art de vivre. La formation est aussi devenue capitale, elle est plus rependue. Ces deux éléments sont la base d’un développement économique en progression. La théorie de capital humain est basée sur le fait que la population soit bien éduquée et en bonne santé. Cette notion regroupe plusieurs éléments comme les savoirs, les savoir-faire et les savoir-être et peut être perçue par différents point de vue : celui de l’entrepreneur, du salarié et de l’Etat.
Nous pouvons alors nous demander quels sont les apports et les limites de la théorie du capital humain pour chacun de ces trois points de vue. Dans un premier temps nous aborderons le sujet des apports et ensuite celui des limites.
I. Apports de la théorie du capital humain
La théorie du capital humain est basée sur le fait que la population doit être le plus instruite possible et dans la meilleure santé qui soit. Dans cette théorie le « bonheur » du salarié doit être une priorité pour l’entreprise. Cette dernière doit donc mettre des services à disposition de ses salariés afin qu’ils soient bien, moins stressés par exemple. La théorie du capital humain encourage le salarié à poursuivre ses études, sa formation ainsi qu’a améliorer ses compétences, tout ca dans le but d’acquérir des conditions de travail meilleures, un emploi plus intéressant. En suivant les « règles » de la théorie, un salarié augmente ses possibilités de trouver un emploi s’il n’en a pas déjà un, se permet une reconversion par le biais de formations ou de diplôme obtenus au cours de sa carrière. En se formant au cours de sa vie active, le salarié peut accéder à de nouvelles fonctions, de nouvelles responsabilités plus enrichissantes et c’est avec toutes ces possibilités que le salarié développer et améliorer ses attitudes face aux