Thérèse raquin
Thérèse Raquin de Zola : Lecture Cursive
I. L'incipit du roman
1) Au tout début du texte, l'auteur donne beaucoup de détails sur le lieu, comme si il était très important, comme si la plupart de l'histoire allait se passer dans cette ruelle. Zola essaye de nous faire voir la ruelle a travers ce qu'il écrit, pour que l'on se l'imagine. Tout est décrit, même les plus petits détails, comme si les lieux ont été étudiés minutieusement. Zola incarne bien l'idée des livres naturalistes dans cet incipit, car il donne une description très précise et très réelle des lieux, le lecteur peut avoir une image très détaillée de l'endroit ou se passe la scène, et cette description est objective : Zola à écrit ce qu'il voit. Il ne donne pas son opinion sur le lieu, il veut nous laisser juger par nous même. 2) Au début du roman, on se doute que c'est un roman naturaliste car le roman débute avec une description très détaillée du lieu, qui, je pense, est le lieu ou la plupart de l'histoire se passe. En effet, c'est dans cette ruelle que se trouve la boutique de Thérèse et de Camille. La ruelle est sombre, comme pour montrer que quelque chose s'est passé dans cette ruelle. Zola veut nous faire passer un message dès le début du roman, il essaie de nous faire comprendre que quelque chose de sombre s'est passé ici.
La rencontre amoureuse Laurent ne ressemble pas du tout a Camille, ils sont opposés, que ce soit dans leur physique ou dans leur caractère. Laurent est grand, fort, brun et assez attirant alors que Camille est petit, maigre, roux et plutôt repoussant. Camille est une personne qui n'aime pas trop sortir, qui a peur de l’extérieur. Alors que Laurent est très sur de lui, il pense pouvoir contrôler beaucoup de choses, et base sa confiance sur son physique et sur sa condition physique. Thérèse a tout de suite été attirée par Laurent en général, sur son physique, sur son caractère. Il ne ressemble