Les générations font que nous n’avons pas les mêmes héros. Car selon les générations, la perception d’un héros est très différentes. Comme on peut voir dans la poésie de Victor Hugo, Après la bataille le héros au sein du poème est son père et la sagesse qu’il dégage par rapport à cet homme qui demande de l’eau mais qui est aussi près à le tuer. Son père fait preuve d’humanisme vis-à-vis de cet homme, , comme le souligne aussi dans ces propos Stefan Zweig à travers cet écrit intitulé Les héros dans un univers mondialisé et l’extrait d’Odile Faliu et Marc Tourret où ils nous renvoient comme message « cet éternel besoin de fabriquer des héros ». Cela revient à ses modèle qui se construisent et que nous construisons en devenant « fan » ou les idolâtrant pour faire en des héros adhérant à leurs vision, leurs pensées.

Pour certains les héros peuvent être importants car dans les moments difficiles il y a possibilités de s’identifier par eux. Pourquoi s’identifier aux héros ? Car cela nous permet de renforcer l’estime que nous avons de nous même, ou de regagner la confiance et/ou le moral en nous, que nous avions perdue. Leur rôle joue énormément dans le processus de la construction d’un individu, ou dans la construction de mythes ou pratiques culturelles. Mais pour certains un trop fort engouement pour des héros peut engendrer des risques tels que leur chute. Donc loin d’être une source de motivation s’identifier au héros devient alors une source d’inhibition voir même de dépression. Comme pour les ados, leur admiration pour les stars people présente pour quelque-uns le rejet de leur corps, comme le constate le psychologue John Maltby. Ils paient alors le prix en essuyant de méchante critique et alors les dénigrer et les faire tomber de leur piédestal peut nous rassurer comme il l’est souligné par Thierry Janssen dans un article de Libre Essentiel. Ils ne sont donc pas l’abri des retraits d’affection des admirateurs à l’inverse des héros bandes dessinés a qui on ne