Tout d’abord, dans l’étude de cas présenté, nous faisons face à une situation qui pose un problème et dont il faut approfondir certaines notions dans le but de trouver une ou des solutions. Lors de ma rencontre avec le supérieur hiérarchique, j’ai commencé par lui faire part des faits relatant une situation problématique par rapport à l’entreprise en question. Il s’agit en fait d’une entreprise de produits laitiers établie depuis de nombreuses années. À l’intérieur de celle-ci se retrouve un superviseur, un expéditeur et dix chauffeurs-livreurs. Jerry Jones qui occupe le rôle de directeur de la laiterie est également un patron omniprésent. Lors d’une réunion, il s’est montré craintif par rapport à la réelle motivation que pouvait avoir les chauffeurs-livreurs lors de l’application de leurs tâches quotidiennes. En ce sens, il a affirmé vérifier constamment ce que font les employés, et entrer en contact avec immédiatement peu importe le moment, afin de leur faire part uniquement des failles constatées. Il prime la notion d’aller droit au but dans ces moments et se laisse guider par une façon d’être autoritaire et directive. En tant que directeur, il croit aussi fermement que le client a toujours la priorité sur les employés. Ainsi, si une plainte est portée, il ne se gêne pas pour aller exprimer son mécontentement à l’employé et ce, sans avoir entendu l’autre version des faits, selon les dires d’un ancien chauffeur. Il croit aussi que plus les employés sont surveillés, plus ils seront motivés. Donc, il privilégie les rétroactions et les punitions immédiates aux comportements négatifs. Enfin, croyant dur comme fer à l’efficacité de son système de contrôle des inventaires, il avoue faire confiance à ses chauffeurs actuels, car de toute manière, il leur serait pratiquement impossible de tricher tellement il est sécuritaire. Plus récemment encore, il m’a été permis de rencontrer un des anciens chauffeurs de Jerry, qui visiblement n’a pas apprécié son séjour au sein de