EGALISATION DES CONDITIONS
ET DEMOCRATIE

A. De Tocqueville
I – Les fondements de la société démocratique.
1) Egalisation des conditions.
Démocratie de droits.
Démocratie de fait.
Démocratie politique.

Démocratie  Etat d’esprit nouveau.
« Les individus se pensent égaux, ils refusent les privilèges et sont réticents à accepter qu’un autre ait une situation supérieur à la leur. La moindre égalité engendre une frustration relative.

2) Egalité de l’instruction.
A première égalité dite naturelle est la faculté d’intelligence. Cette situation est identique dans tout l’espace mondial. Dans tous les pays. Le niveau primaire est un niveau mitoyen à la portée de tous, c’est une égalité. Mais cependant, l’instruction secondaire supérieur est fréquenté par presque personne puisqu’on fait appelle au faculté d’intelligence de l’individu. Les Américain adhèrent à ce modèle, et ils sont dans un processus d’égalisation des conditions. La famille n’a pas d’influence sur les enfants, donc pas de reproduction sociale. En France nous sommes en retard de 60 ans sur les Etats-Unis.

3) De l’Etat à la démocratie politique.
La presse est dans une démagogie. La démocratie ne se base pas sur des égalités de fait, mais de droit qui est construite sans classe et position héréditaire. Régime démocratique avec la séparation des pouvoirs. Des pouvoirs qui se contrôlent les uns les autres. La démocratie politique, de droit  société démocratique.

II – Conséquences économiques et sociales de l’égalisation des conditions.

1) La forte mobilité sociale.
Toutes les positions sociales sont ouvertes et chacun va tenter d’accéder au métier qui lui permettra le plus facilement de s’enrichir. Les positions sociales sont devenues instables et réversible, rien n’est figé.
« Rien n’assure un commerçant qui va le rester toute sa vie » Tocqueville.

2) La moyennisation de la société.
Niveau de vie, c’est la richesse par habitant. Le mode de vie c’est la façon dont l’on