Lecture analytique n°2 : Torture de Voltaire, 1764

Voltaire avait dénoncer les violences de l'Inquisition dans Candide en 1759. Dans le dictionnaire philosophique portatif, publié en 1763, il rajoute en 1769 un article indigné contre la Torture, à la suite des délits et des peines de l'italien Beccaria et de l'affaire de la Barre injustement supplicié en 1766 à Abbeville. Nous nous demanderons comment Voltaire procède pour dénoncer la Torture. Nous verrons dans un premier temps les variations d'angles de vue et dans un deuxième temps les modalités de l'ironie.

I Les variations d'angles de vue.
A. Gradation.

L'inhumanité d'une institution qui pratique la torture connu sous le nom de questions ordinaires ou extra-ordinaires. Cela désigne des tortures plus ou moins cruels pour faire avouer le crime et dénoncer les complices.
La fonction de juge à été acheter « Le grave magistrat qui à acheter pour quelque argent le droit de faire ces expériences » (l.11) > dénonciation de la vénalité des charges. Le juge ce montre cruel plutôt que juste, le médecin est complice de ça « en présence d'un chirurgien qui lui tâte le pouls, jusqu'à ce qu'il soit en danger de mort, après quoi il recommence » (l.7-9) > perversion, sadisme.
Le juge et sa femme prenne plaisir à parler des souffrances au diner.
L'inhumanité d'un peuple avec l'exemple : de la Barre > où l'on s'est montrer cruel face a un innocent, ces délits ne sont pas condamnables > abus de pouvoir. (l.22-32)
La France n'a pas d'excuse pour torturer des esclaves alors, il torture des hommes libres contrairement aux Romains. Les romains sont supérieur aux Français, car les romains ne torturer seulement les esclaves, or la France torture les homme libres, elle les conditionnes comme esclaves « hâve, pâle, défait, les yeux mornes, la barbe longue et sale, couvert de la vermine dont il à été rongé dans un cachot » (l.4-6)
La France usurpe sa réputation de nation civilisé : Ce n'est pas parce que les français